N’étant jamais parvenu au-delà du deuxième volume des Classiques Favoris du piano, dont son interprétation très personnelle constituait une source de nuisance sonore considérable pour son entourage, Bertrand Périer a rapidement, et dans l’intérêt de tous, abandonné l’étude du piano. Il est néanmoins resté, à l’égard de la musique, croyant à défaut d’être pratiquant.
A l’heure de choisir sa voie, il s’est souvenu qu’il avait remporté, en classe de 4ème, le concours de récitation de son collège. Encouragé par ce succès, et souhaitant pouvoir continuer à jouer la comédie tout en gagnant sa vie, il s’est tout naturellement tourné vers le métier d’avocat.
Parallèlement, il enseigne la prise de parole en public, notamment en Seine-Saint-Denis dans le cadre du programme Eloquentia mis en lumière par le documentaire A voix haute (2016). Il est l’auteur de La parole est un sport de combat (JC Lattès, 2017) de Sur le bout de la langue – Le plaisir du mot juste (JC Lattès, 2019) et de Sauve qui parle – Quand la parole change la vie (JC Lattès, 2021).