Juliette Armanet

pop

Chant

Juliette Armanet sera en concert au Festival 1001 Notes le 30 juillet, dans la Patinoire Olympique de Limoges, Juliette partagera la scène avec son père compositeur de musique classique et des solistes exceptionnels.

C’est l’étincelle qui déclenche tout. Le beat disco, la note de piano, l’accord qui serre le cœur et s’empare des corps.
La flamme qui embrase le deuxième album de Juliette Armanet. Brûler le feu, comme un grand incendie. Ce feu sacré, Juliette
l’entretient depuis le succès de Petite Amie, son premier album double platine (200 000 albums vendus) couronné par une
Victoire de la Musique de l’album révélation, et d’une tournée de plus de 200 concerts, d’intimes piano-voix aux foules des
plus grands festivals.

Ce nouvel album, Juliette l’a abordé comme un nouveau territoire : si son piano en reste le cœur battant, il s’habille
désormais d’arrangements chauds et dansants.

Elle l’a écrit et composé en maintenant cet équilibre subtil entre mélodies à la fois populaires et racées, capables de fasciner
comme de fédérer. Un point de bascule qu’ils ne sont pas si nombreux à avoir trouvé. Juliette fait partie de ces jeunes artistes
qui ont su faire le lien entre une variété chic et intemporelle et une musique pop assumée, de Michel Berger à Daft Punk, de
Véronique Sanson à Dua Lipa. Pour peaufiner ses nouvelles chansons, elle s’est entourée d’une équipe de réalisateurs de haut
vol : SebastiAn (Daft Punk, Frank Ocean, Charlotte Gainsbourg), Yuksek (Lykke Li, Lana Del Rey), Julien Delfaud (Phoenix,
Sébastien Tellier), Victor Le Masne (Gaspard Augé, Kavinsky), Bastien Dorémus (Christine & the Queens) et Marlon B, qui
était déjà présent sur son premier album.

Juliette a étoffé aussi bien de cordes disco que de beat solaires les touches noires et blanches de son instrument. Portée
par cette nouvelle puissance orchestrale, elle a exploré ce dont sa voix est capable, du murmure au quasi-point de rupture,
dévoilant des prouesses vocales dont elle n’avait peut-être encore jamais pris la mesure : la preuve sur Le Rouge aux
Joues, hommage assumé aux divas pop ou HB2U et Boom Boom Baby, avec lesquels Juliette salue, dans un joli sourire, les
fantasmes de son adolescence nineties.

Brûler le feu, assumer son désir, son goût pour la fougue et l’excès : c’est le credo d’un disque habité par la passion.
Avec ce deuxième album, Juliette Armanet a voulu découvrir qui elle est, petite amie devenue grande amoureuse, exploratrice
d’une palette de sentiments que déclinent chaque chanson : obsession (Vertigo en duo avec SebastiAn) ou adoration (J’te
l’donne), coup de foudre (L’Épine) ou histoire impossible (Imaginer l’amour). Sur Tu me Play, Juliette Armanet fait aussi une
déclaration d’amour à son public. Je ne pense qu’à ça, ballade sensuelle et ardente où plane, comme un oiseau de nuit, le
fantôme de Christophe.

La peau, la transe, l’empire des sens : Brûler le feu est aussi, avant tout, un disque qui invite à la danse, de la chevauchée fantastique de Sauver ma vie aux flamboyant Le Dernier jour du Disco. Des chansons qui cachent pourtant, au
détour d’un accord mineur, l’ombre de la mélancolie. Compagne inévitable de celles et ceux qui ne savent vivre qu’intensément.
Brûler le feu. Plus qu’un mantra à l’humour assumé, c’est un appel au soulèvement que lance Juliette Armanet sur le
dernier titre du disque, péplum intime aussi sensuel qu’épique. Un cri du cœur qui célèbre ces flammes qui nous consument
autant qu’elles illuminent nos vies.