Au bout de la marche de l’amour des trois oranges
Monter sur les barricades mystérieuses, étranges
Là, redécouvrir le connu, découvrir l’inconnu
tout l’étonnant de tonalités toutes nues
Revisiter le répertoire classique
sur instruments modernes et atypiques
Du baroque rock sur Bartok
ça tire sur Satie, ça tord Stravinsky
et les cinq sens de Saint Saëns se révèlent
dans la danse du boléro tibétain de Ravel
Un répertoire mais plus de repères :
nous sommes dans le hors-zone
Pourquoi ? D’après Frantz Schubert
c’est parce qu’il y a du vent dans les aulnes.

Cocteau Mot Lotov

Programme Aquarium

Sergueï Prokofiev : Marche de l’Amour des trois oranges
Piotr Ilitch Tchaïkovsky : Danse de la fée Dragée
Maurice Ravel : Assez vif – Très rythmé
Francis Poulenc : Improvisation No.5
Camille Saint-Saëns : Aquarium
Bela Bartok : Six Danses populaires roumaines
Aurélien Terrade (d’après Franz Schubert) : Du vent dans les aulnes
Johannes Hieronymus Kapsberger : Toccata arpeggiata
Erik Satie : Véritables préludes flasques (pour un chien)
Aurélien Terrade (d’après Igor Stravinsky) : Le tuyautage de la turbine est fêlé au ras de la coque
Aurélien Terrade (d’après Robert Schumann) : Quatre cent quarante cycles par seconde
Erik Satie : Gnossienne No.1
Aurélien Terrade (d’après Mozart) : 1786
François Couperin : Les barricades mystérieuses

Première partie : Lucie Peyramaure (chant)

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